Dans le cadre du projet PIF, voici un article paru sur le site Web du journal Métro et dans la version imprimée du journal de quartier « Courrier Ahuntsic / Bordeaux-Cartierville ». On y trouve le témoignage de l’une de nos proches aidantes, Jocelyne K. Elle évoque son parcours, ses difficultés et tout particulièrement l’épreuve de l’isolement. Publié le 11 novembre 2016.
Politicians in the Rosemont–La-Petite-Patrie borough have joined together to launch an appeal to raise funds for a community organization that wants to bring one, or several, Syrian families seeking refuge in Canada.
Une hypothèse soutenue par Nayiri Tavlian, présidente du conseil d’administration de l’organisme Hay Doun. «Après avoir essayé plusieurs fois de parler à quelqu’un d’Immigration Canada, je suis finalement tombée sur un agent qui m’a expliqué que la salle d’attente était bondée. Selon lui, la raison du délai était le manque de personnel causé par des coupures du gouvernement», explique-t-elle. Une hypothèse que personne n’a confirmé.
Il n’en fallait pas plus pour que la famille Keheyan décide de faire des démarches pour venir au Canada. L’Association Hay Doun, un organisme qui aide au rapatriement des réfugiés syriens et irakiens d’origine arménienne, a pris en charge leur dossier.
Hay Doun president Nayiri Tavlian said the organization started sponsoring Iraqi refugees about a decade ago, before expanding to include Syrians two years ago. Many Armenians in Canada have family in Syria and Iraq, she said, as they were all forced to flee their homeland during the Armenian genocide in 1915.
La crise des réfugiés syriens n’est pas sans rappeler le dur et long parcours des personnes qui fuient leur pays en guerre. Rencontre avec des réfugiés aujourd’hui installés au Canada et qui ont bénéficié de programmes de parrainage.
They work quietly, with one employee, and a small army of devoted volunteers — based in Outremont, the Quebec group Hay Doun has helped bring more Syrian refugees to Canada than any other organization in the country. It also offers help to Syrian families who fear for loved ones they’ve left behind.
« Nous avons eu des gens qui sont arrivés ici au bout de six mois, et on continue d’avoir des personnes qui avaient présenté leur demande il y a à peu près un an et demi et qui attendent encore au Liban, par exemple, pour que leur dossier soit traité », explique Nayiri Tavlian, présidente de l’organisme de parrainage Hay Doun, qui a accueilli 630 réfugiés syriens au Québec depuis 2013.